Vingt-cinq ans après avoir mis en scène Madame Butterfly, devenue une production incontournable du répertoire de l’Opéra de Paris, Robert Wilson aborde à nouveau Puccini avec Turandot, ultime chef‑d’oeuvre du compositeur italien. Les décors épurés et minimalistes, les compositions de lumières si propres à l’univers du metteur en scène, se prêtent à merveille à l’histoire de la cruelle Princesse, fille de l’ Empereur d’une Chine immémoriale. Un spectacle construit comme des tableaux, les uns directement empruntés au théâtre nô dont la gestuelle ritualisée magnifie les scènes de groupe, les autres, burlesques, portés par le trio comique de Ping, Pang et Pong.
Más historias
El ‘Eugene Onegin’ más “íntimo” llega al Teatro Real
Los ‘stradivarius’ de Carlos III salen del Palacio Real por primera vez en 27 años: sonarán en Madrid por la dana de Valencia
El Teatro Colón despide a su director escenotécnico Enrique Bordolini